Mais…

Ces quatre petites lettres forment un mot redoutable. C’est un bémol constant chez certaines personnes. Dicté par une réserve de bon aloi et la volonté d’échapper au manichéisme, il pondère. En revanche, il diminue et affaibli tout ce qu’il précède : « Vous travaillez bien, mais vous êtes souvent en retard » est très différent de « vous êtes souvent en retard, mais vous travaillez bien ».

A défaut de savoir se passer du « mais », être capable de placer la phrase positive après le « mais » est un atout en communication et en pédagogie.

“Ce qui est dit avant « mais » n’a aucune importance.”
Proverbe américain