Publié dans Pensées du jour
Des chercheurs de l’université du Texas à Austin ont analysé une série d’emails et de courriers de personnes dont le profil psychologique leur était connu, afin d’évaluer la fréquence du pronom personnel « je ».
Ils ont par ailleurs mené divers entretiens avec le même objectif.
De leurs travaux, il ressort qu’on utilise d’autant moins le « je » qu’on occupe une position socio-professionnelle élevée.
Contrairement à l’intuition, ceux qui ont du pouvoir disent moins « je » que ceux qui n’en ont pas.
De surcroît, les personnes qui utilisent abondamment le pronom de la première personne du singulier se révèlent avoir moins confiance en elles-mêmes que celles qui s’expriment peu à la première personne.
Les « bons » leaders préfère le « nous » !