Publié dans Pensées du jour
Des chercheurs de l’université Stanford ont exposé trois groupes de volontaires à des températures élevées et évalué leur niveau de souffrance par des techniques de neuro-imagerie.
Durant l’exercice, les participants du premier groupe (a) ont été invités à observer une photographie de leurs compagnes ou compagnons.
Aux participants du deuxième groupe (b), il a été proposé de regarder une photographie d’une de leurs relations amicales.
Ceux du troisième groupe (c) ont été engagés dans un jeu distrayant sur le langage.
Le groupe témoin n’a disposé ni de photographie, ni de distraction.
Dans l’ensemble des groupes (a), (b) et (c), la douleur a été moins vivement ressentie que dans le groupe témoin.
Elle s’est également révélée moins vive – à des niveaux voisins – dans les groupes (a) et (c) que dans le groupe (b).
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