Publié dans Pensées du jour
Des psychologues du collège de Plymouth (Massachusetts) ont demandé à groupe de volontaires d’évaluer la fréquence de leurs prénoms dans la population américaine sur une échelle de 1 à 100, où neuf prénoms avaient été déjà été mentionnés comme repères.
Il apparaît qu’on sous-estime la fréquence de son prénom.
Un tel phénomène est inhabituel : on a en effet tendance à plutôt surestimer ce qui familier.
Les chercheurs mettent en parallèle cette sous- estimation avec le fait que les personnes qui possèdent un prénom rare sont réputées présenter des prédispositions au bien-être.