Publié dans Pensées du jour
Des chercheurs de la Harvard Business School ont proposé à quatre groupes de volontaires de participer à des jeux sur écran dotés d’une récompense monétaire en cas de réussite, chaque volontaire étant installé dans une pièce isolée.
Le premier groupe a joué sur smartphone, le deuxième sur tablette, le troisième sur ordinateur portable, le quatrième sur station de travail grand écran.
A l’issue des jeux, le superviseur a indiqué à chaque participant qu’il devait s’absenter quelques instants pour aller récupérer la récompense, en demandant audit participant de venir le chercher s’il n’était pas revenu après cinq minutes.
La taille du support utilisé s’est révélée sans effet sur les stratégies de jeu des participants.
En revanche, les volontaires se sont montrés d’autant plus prompts à venir chercher le superviseur et à réclamer leur gain que leur écran était grand.
Pour les chercheurs, le fait de travailler sur grand écran décontracte le corps et renforce la confiance en soi.
A l’inverse, travailler sur smartphone induit des attitudes de restriction à la fois physique et mentale.
Par des techniques d’imagerie médicale, des chercheurs de l’université britannique d’Exeter ont suivi l’activité du cerveau lorsqu’on lit.
Il apparaît que la lecture mobilise un ensemble précis de zones cérébrales du cerveau gauche.
C’est le cas pour tout type de texte : prose et poésie, récit ou littérature technique.
Mais les textes chargés émotionnellement, par exemple les poèmes, actionnent de surcroît les mêmes zones du cerveau droit que celles impliquées dans l’écoute de la musique.
Pour attirer la sympathie d’un client : lui écrire en alexandrins ?