Publié dans Pensées du jour
Avec le développement des smartphones, la communication se fait de moins en moins en vis-à-vis.
L’échange verbal, de visu ou par téléphone, tend à s’éclipser derrière la communication digitale.
Barbara L.
Fredrickson, professeur de psychologie à l’université de Caroline du Nord, a étudié les conséquences de ce phénomène.
L’universitaire montre que, de même que l’exercice physique allonge l’espérance de vie, le fait de parler et de sourire aux autres renforce le sentiment de bien-être, tant chez soi-même qu’au bénéfice de ceux auxquels on s’adresse.
Quand on ne communique que par téléphone, et a fortiori par SMS ou par réseaux sociaux, on finit en revanche par perdre la capacité à se montrer chaleureux dans les contacts de vive voix.
Un jour viendra-t-il où les médecins du travail demanderont aux salariés combien de temps ils parlent chaque jour ?