Groupe Gérard Carton
Publié dans Pensées du jour - Divers
Il y a ceux qui sont du matin et ceux qui sont du soir. Les premiers sont sur le pont dès que le jour se lève, les seconds préfèrent travailler en soirée. Mais présentent-t-ils le même niveau de procrastination – la tendance à remettre à plus tard ce que l’on pourrait faire immédiatement ? Des équipes du Collège académique de Tel Aviv et de l’université du Michigan ont interrogé, à l’aide d’un questionnaire, quelque 600 personnes. Il ressort que la procrastination est positivement corrélée d’une part au fait d’être du soir plutôt que du matin, d’autre part à la tendance à l’insomnie. Dans des travaux complémentaires, les chercheurs ont montré qu’on pouvait réduire la procrastination en traitant l’insomnie et, réciproquement, limiter l’insomnie en traitant la procrastination.
