Publié dans Pensées du jour
Des chercheurs de la Southern Methodist University de Dallas ont proposé à un premier groupe de volontaires de faire chaque jour, en un quart d’heure par écrit et pendant une semaine, le récit des déceptions et souffrances qu’ils ont pu éprouver la veille.
Le même exercice d’écriture quotidienne a été demandé à un autre groupe de volontaires, mais sur des sujets triviaux, comme la description de leur appartement.
Les participants ont ensuite fait l’objet d’une évaluation psychologique.
Les personnes ayant raconté leur souffrance ont affiché un niveau de bien-être supérieur à celui constaté chez celles ayant évoqué des banalités.
Pour aller bien : tenir un journal intime ?