Publié dans Pensées du jour
Des expériences de neurosciences montrent qu’à l’occasion d’une grande peur ou d’une nouvelle bouleversante, le cerveau se concentre sur la gestion du danger ou de la tristesse, perturbant le déroulement des autres processus, notamment la faculté d’appréciation rationnelle des enjeux.
Une fois passés le danger ou le choc de la nouvelle, il faut un certain temps pour recouvrer un fonctionnement normal des capacités neuronales.
Les neurosciences montrent que le phénomène est prolongé lorsqu’on s’allonge après le traumatisme.
C’est la raison pour laquelle, dans certaines armées, on oblige les soldats à demeurer debout et éveillés après un engagement sérieux.
Pour dépasser un lourd échec commercial : marcher ?