Publié dans Pensées du jour
Des chercheurs de l’université du Texas ont proposé à des volontaires de tenir un journal dans lequel ils enregistrent leurs humeurs et activités quotidiennes.
De l’analyse de ces données, il ressort que la satisfaction que l’on éprouve dans les activités de la vie quotidienne varie généralement à l’inverse de la fréquence à laquelle on les pratique.
D’autres études montrent que l’on cesse de penser aux activités routinières, comme si on les menait de façon automatique, alors qu’on conserve la conscience de celles qu’on ne pratique qu’occasionnellement.
Pour les chercheurs, cette différence expliquerait la diminution de la satisfaction engendrée par ce qui est répétitif.
Ce qui est rare, dit-on, est cher.
On pourrait ajouter : et bon !