Publié dans Pensées du jour
Des psychologues de l’université Northwestern (Illinois) ont réuni des volontaires en groupes de travail.
A chaque groupe a été affecté un leader.
En réunissant les participants dans une salle commune ou en les installant au contraire dans des pièces individuelles, en partageant collectivement l’information ou en la diffusant de façon sélective, les leaders avaient la possibilité de faciliter ou de freiner la communication à l’intérieur du groupe qu’ils dirigeaient.
Par différentes manipulations, les organisateurs avaient de leur côté la possibilité de donner aux leaders le sentiment qu’ils étaient en situation précaire, ou à l’inverse sans aucun risque d’être exclu.
Les leaders en position fragile ont peu encouragé le rapprochement physique des participants et peu partagé l’information.
Les leaders en position stable ont au contraire fortement stimulé le travail d’équipe.