Publié dans Pensées du jour
Des psychologues de l’université de Waterloo (Canada) ont décrit à un premier groupe de volontaires une escroquerie et leur ont demandé comment ils auraient réagi s’ils en avaient été victimes.
Puis ils ont exposé la même escroquerie à un second groupe de volontaires en leur demandant cette fois ce qu’ils auraient recommandé à l’un de leurs amis qui en aurait été l’objet.
Les participants se sont montrés beaucoup plus réfléchis et pertinents dans le second cas, lorsqu’il s’agissait d’un ami.
D’autres expériences ont montré que prendre le point de vue d’un tiers pour analyser une situation rend le jugement plus sûr.