Publié dans Pensées du jour - Divers
On écrit de moins en moins à la main. Mais les nouvelles techniques d’imagerie médicale et de suivi du regard amènent à s’intéresser de plus en plus aux textes manuscrits. Des chercheurs de l’université Aalto (Finlande) ont observé à l’aide d’un dispositif d’IRM les zones du cerveau mobilisées dans la lecture d’une part d’un texte imprimé, d’autre part d’un texte manuscrit. Il apparaît qu’un texte manuscrit mobilise une variété plus large de zones du cerveau qu’un texte imprimé – à la fois des zones impliquées dans le mouvement et d’autres relatives aux émotions. Bref, un texte manuscrit a un impact corporel et psychologique plus marqué qu’un texte imprimé.