Publié dans Pensées du jour
Des chercheurs de l’Université de Cassel (Pays-Bas) ont mesuré la fréquence des « je » et « moi » d’une part, et des « nous » d’autre part, dans des entretiens psychologiques de personnes présentant des signes de dépression plus ou moins intenses.
Il ressort que la fréquence de l’emploi de la première personne du singulier (je, moi) est proportionnelle à la gravité de la dépression.
A l’inverse, un usage abondant de la première personne du pluriel (nous) signale une tendance au bien-être.
Dans les entreprises, on reproche à ceux qui abusent du « moi je » de trop tirer la couverture à eux.
Peut-être sont-ils plutôt mal dans leur peau ?